5. PASSAGE DES ARTS
À NE PAS MANQUER
PUPILLE |
JUSQU'À LA GARDE Le couple Besson divorce. Pour protéger son fils d’un père qu’elle accuse de violences, Miriam en demande la garde exclusive. La juge en charge du dossier accorde une garde partagée au père qu’elle considère bafoué. Pris en otage entre ses parents, Julien va tout faire pour empêcher que le pire n’arrive. Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs |
À ÉCOUTER EN BOUCLE
SUPPLIQUE POUR ÊTRE ENTERRÉ
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"Je te signale que je m'en fous d'être enterré à la plage de Sète, ça m'est complètement égal. J'ai fait ça pour m'amuser, pour aller aux bains de mer..." Brel-Ferré-Brassens, 1969 |
Brassens est un des premiers à avoir dépassé les 3 minutes réglementaires pour une chanson afin d’être diffusée à la radio et ici, il a eu l’audace d’aller jusqu’à 7 minutes !! Et pourtant, on ne s’ennuie pas tout au long de ces couplets, tellement il y a d’invention poétique dans ces paroles.
BALANCE TON QUOI
Une critique drôle et acidulée du sexisme ordinaire.Dans un contexte post #MeToo, ce titre est avant tout un message adressé aux harceleurs et misogynes de tous poils.
Tout au long de son clip, Angèle, l’artiste pop, incarne plusieurs rôles. De juge à témoin, en passant par le coach à la tête d’une académie d’éducation masculine, elle met l’accent sur le rôle de l’enseignement, meilleur moyen selon elle de lutter contre le «sexisme ordinaire». Le tout dans un réquisitoire aussi acerbe qu’amusant.
La Camarde, qui ne m'a jamais pardonné D'avoir semé des fleurs dans les trous de son nez, Me poursuit d'un zèle imbécile. Alors, cerné de près par les enterrements, J'ai cru bon de remettre à jour mon testament, De me payer un codicille. Trempe, dans l'encre bleue du golfe du Lion, Trempe, trempe ta plume, ô mon vieux tabellion, Et, de ta plus belle écriture, Note ce qu'il faudrait qu'il advînt de mon corps, Lorsque mon âme et lui ne seront plus d'accord Que sur un seul point : la rupture. Quand mon âme aura pris son vol à l'horizon Vers celles de Gavroche et de Mimi Pinson, Celles des titis, des grisettes, Que vers le sol natal mon corps soit ramené Dans un sleeping du "Paris-Méditerannée", Terminus en gare de Sète. Mon caveau de famille, hélas ! n'est pas tout neuf. Vulgairement parlant, il est plein comme un oeuf, Et, d'ici que quelqu'un n'en sorte, Il risque de se faire tard et je ne peux Dire à ces braves gens "Poussez-vous donc un peu !" Place aux jeunes en quelque sorte. Juste au bord de la mer, à deux pas des flots bleus, Creusez, si c'est possible, un petit trou moelleux, Une bonne petite niche, Auprès de mes amis d'enfance, les dauphins, Le long de cette grève où le sable est si fin, Sur la plage de la Corniche. C'est une plage où, même à ses moments furieux, Neptune ne se prend jamais trop au sérieux, Où, quand un bateau fait naufrage, Le capitaine crie : "Je suis le maître à bord ! Sauve qui peut ! Le vin et le pastis d'abord ! Chacun sa bonbonne et courage !" |
Et c'est là que, jadis, à quinze ans révolus, A l'âge où s'amuser tout seul ne suffit plus, Je connus la prime amourette. Auprès d'une sirène, une femme-poisson, Je reçus de l'amour la première leçon, Avalai la première arête. Déférence gardée envers Paul Valéry, Moi, l'humble troubadour, sur lui je renchéris, Le bon maître me le pardonne, Et qu'au moins, si ses vers valent mieux que les miens, Mon cimetière soit plus marin que le sien, Et n'en déplaise aux autochtones. Cette tombe en sandwich, entre le ciel et l'eau, Ne donnera pas une ombre triste au tableau, Mais un charme indéfinissable. Les baigneuses s'en serviront de paravent Pour changer de tenue, et les petits enfants Diront : "Chouette ! un château de sable !" Est-ce trop demander... ! Sur mon petit lopin, Plantez, je vous en prie, une espèce de pin, Pin parasol, de préférence, Qui saura prémunir contre l'insolation Les bons amis venus faire sur ma concession D'affectueuses révérences. Tantôt venant d'Espagne et tantôt d'Italie, Tous chargés de parfums, de musiques jolies, Le mistral et la tramontane Sur mon dernier sommeil verseront les échos, De villanelle un jour, un jour de fandango, De tarentelle, de sardane... Et quand, prenant ma butte en guise d'oreiller, Une ondine viendra gentiment sommeiller Avec moins que rien de costume, J'en demande pardon par avance à Jésus, Si l'ombre de ma croix s'y couche un peu dessus Pour un petit bonheur posthume. Pauvres rois, pharaons ! Pauvre Napoléon ! Pauvres grands disparus gisant au Panthéon ! Pauvres cendres de conséquence ! Vous envierez un peu l'éternel estivant, Qui fait du pédalo sur la vague en rêvant, Qui passe sa mort en vacances |
Ils parlent tous comme des animaux Balance ton quoi Donc laisse-moi te chanter Les gens me disent à demi-mot Laisse-moi te chanter Balance ton quoi (x3) Un jour peut-être ça changera |
Laisse-moi te chanter Ouais j's'rai polie pour la télé Donc laisse-moi te chanter Balance ton quoi |
IDÉES POUR VOTRE PAL
« Je voulais dire à mon grand-père que je l'aimais, mais je n'y suis pas parvenu. J'ai si souvent été en retard sur les mots que j'aurais voulu dire. Je ne pourrai jamais faire marche arrière vers cette tendresse. Sauf peut-être avec l'écrit, Maintenant. Je peux le lui dire, là. » |
1984. Cléo, treize ans, qui vit entre ses parents une existence modeste en banlieue parisienne, se voit un jour proposer d'obtenir une bourse, délivrée par une mystérieuse Fondation, pour réaliser son rêve : devenir danseuse de modern jazz. Mais c'est un piège, sexuel, monnayable, qui se referme sur elle et dans lequel elle va entraîner d'autres collégiennes. |
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